Luc 17:7 Qui de vous, ayant un serviteur qui laboure ou paît les troupeaux, lui dira, quand il revient des champs: Approche vite, et mets-toi à table?
8 Ne lui dira-t-il pas au contraire: Prépare-moi à souper, ceins-toi, et sers-moi, jusqu’à ce que j’aie mangé et bu; après cela, toi, tu mangeras et boiras?
9 Doit-il de la reconnaissance à ce serviteur parce qu’il a fait ce qui lui était ordonné?
10 Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites: Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire.
Il n'y a personne d'indispensable, si ce n'est pas nous qui sert dans un tel ministère, ce sera quelqu'un d'autre.
Cela ne veut pas dire d'agir de manière irresponsable, mais le but de cette parole c'est de nous garder humbles en reconnaissant qu'on a fait seulement notre tâche ; c'est ce que Dieu attendait de nous et cela doit nous satisfaire.
Toute activité pour l'avancement du royaume de Dieu est un privilège, c'est une grâce imméritée, Dieu ne nous doit absolument rien. Si nous cessons de faire ce que nous avions pris goût à faire, soyons seulement reconnaissants d'avoir pu servir dans un ministère qui a été une bénédiction. Croyons encore que Dieu a des plans de bonheur pour nous et qu'il reste d'autres bonnes œuvres qu'il a préparées d'avance pour nous même si nous ne sommes pas en mesure encore de les identifier. Marchons dans la foi, elle nous gardera dans la joie où réside la force du chrétien de faire tout ce que son Seigneur lui ordonne.
Notre valeur n'est pas dans ce qu'on fait pour Dieu mais dans ce qu'on est pour Dieu. Elle est dans la position de notre relation avec Dieu, du fait que nous sommes des enfants de Dieu.
Compteur installé le 28 janvier 2020