Le syrien Éliézer a toujours été fidèle à son maître Abraham, il a été l'héritier d'Abraham jusqu'à ce qu'Abraham devienne finalement papa à l'âge de 100 ans et laisse tout son héritage à Isaac. Éliézer est devenu pauvre, le pauvre Lazare (Lazaros en grec est la transcription d'Éliézer en hébreu).
Genèse 15:2 Abram répondit: Seigneur mon Dieu, à quoi bon me donner quelque chose? Je suis sans enfant, tu ne m'as pas accordé de descendant.
3 Mon héritier, celui qui recevra mes biens, c'est Éliézer de Damas, un de mes domestiques.
4 Non, dit le Seigneur, ce n'est pas lui qui sera ton héritier, mais un fils né de toi.
Mais Éliézier-Lazare avait la foi, il a continué à être fidèle à Abraham jusqu'au bout de sa vie et Lazare a été consolé dans le sein d'Abraham tandis que ceux qui se targuaient d'avoir Abraham pour père et qui jouissaient de son héritage terrestre ont été infidèles à Abraham en étant incrédules et en ne vivant que pour eux-mêmes. Ils méprisaient les Éliézer, les non-juifs de ce monde tout de même restés fidèles à la foi d'Abraham. Alors ces juifs matérialistes et épicuriens n'ont pas été reçus par Abraham pour être consolés parce qu'ils n'avaient pas développé de relation intime avec lui durant leur vie.
Voilà la métaphore illustrée dans la parabole (Luc 16) de Lazare, fidèle mais dépouillé de son héritage par l'héritier de sang puis finalement consolé et du mauvais riche, héritier de sang d'Abraham se pendant approuvé parce qu'il jouissait de son héritage terrestre mais réalisant trop tard que son incrédulité l'avait privé de l'intimité relationnelle avec son père Abraham.
La fidélité à Abraham se manifeste en étant animé par la même foi qu'il avait envers Dieu, c'est vraiment ainsi que nous sommes vraiment des enfants d'Abraham et que nous entrons en possession d'un héritage bien meilleur qui n'aura pas de fin.
Recevez dès maintenant le Saint-Esprit Consolateur par la foi en Jésus qui a pris sur lui tous vos péchés et soyez guéris de toutes ses conséquences (maladies physiques et émotionnelles).
Voir aussi un autre texte expliquant de cette parabole
1Timothée 6:10 Car l’amour de l’argent est une racine de tous les maux; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments
Le mot grec pour "tourments" est le même utilisé pour décrire la souffrance expérimenté par le riche qui n'avait pas la foi dans la parabole de Lazare (Luc 16:24-25).
L'apôtre Jacques élabore dans le même sens :
Jacques 5:1 A vous maintenant, riches! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous.
2 Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les teignes.
3 Votre or et votre argent sont rouillés; et leur rouille s’élèvera en témoignage contre vous, et dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé des trésors dans les derniers jours!
4 Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles du Seigneur des armées.
5 Vous avez vécu sur la terre dans les voluptés et dans les délices, vous avez rassasié vos coeurs au jour du carnage.
6 Vous avez condamné, vous avez tué le juste, qui ne vous a pas résisté.
On voit donc que c'est celui qui met sa foi dans l'argent pour son bonheur l'aura finalement pour son malheur. Prendre l'argent en affection plutôt que les gens en vient à causer sa propre souffrance.
Ce n'est pas la richesse le problème mais le fait de mettre sa foi et son espérance dans l'argent plutôt qu'en Dieu pour son bonheur et la garder tout pour soi.
Voici maintenant comment on peut être riche et approuvé de Dieu en même temps :
1Timothée 6:17 Recommande aux riches du présent siècle de ne pas être orgueilleux, et de ne pas mettre leur espérance dans des richesses incertaines, mais de la mettre en Dieu, qui nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions.
18 Recommande-leur de faire du bien, d’être riches en bonnes oeuvres, d’avoir de la libéralité, de la générosité,
19 et de s’amasser ainsi pour l’avenir un trésor placé sur un fondement solide, afin de saisir la vie véritable.