De plus, des descriptions de ce qu’il a écrit nous sont données. Dans le
livre de la loi, Deut 28.58 nous dit que Moïse à écrit cette loi. Il est dit
que Moïse a écrit ce livre dans Deut 29.20 et 27 ; qu’il a écrit la loi dans
Deut. 29.21 ; 30.10 et 31.26. Et il est dit que Moïse a écrit les Paroles de
la loi dans Deut. 31.24. Nous avons donc ici les 5 descriptions de « qu’est-ce
qu’il a écrit ? » soulignant ainsi le fait que Moïse est réputé être l’auteur
des Écritures. Il lui fut dit d’écrire et ensuite nous avons la description de
ce qu’il a écrit.
Deuxièmement, non seulement la loi elle-même prétend avoir été écrite par
Moïse, mais 13 fois en dehors de la loi de Moïse, il est dit qu’il en est
l’auteur. Par exemple, la loi est appelée le « livre » de la loi de Moïse dans
Josué 8.31 et 23.6 et 2 Rois 14.6.
Deuxièmement, il est appelé « la loi » de Moïse 6 fois dans 1 Rois 2.3 ;
2Chroniques 23.18 ; Esdras 3.2 ; Josué 8.31 ; Daniel 9.11 et 13.
Puis il est appelé « le livre de Moïse » 4 fois. Dans 2 Chroniques 25.4 ;
35.12 ; Esdras 6.18 et Néhémie 13.1.
Donc, 13 fois en dehors de la loi de Moïse dans l’AT, il est dit qu’elle a
été donnée par Moïse.
Dans le NT, plusieurs fois Moïse est affirmé être l’auteur de la loi. Jésus
lui-même en donnait le crédit à Moïse. Dans Matthieu 8.4 ; 19.7-8 ; Marc 7.10
; 12.26 ; Luc 16.29 et 31 ; 24.44 ; Jean 5.45-46 ; 7.19, 22 et 23. Dans les
quatre Évangiles, au moins deux fois dans chaque Évangile, Jésus soutient
l’auteur de la loi mosaïque.
De plus, les écrivains du NT soutiennent l’auteur de la loi mosaïque. Jean
1.45 ; Luc le soutient dans Actes 3.22 ; 7.34 et 44 ; 13.39 ; 15.1 et 21 ;
21.21 ; 26.22 ; 28.23. Puis Paul le soutient dans Rom 9.15 ; 10.5 et 19 ; 1 Cor
9.9 ; 2 Cor 3.15. L’auteur d’Hébreux le soutient dans Héb 7.14 ; 8.5 ; 9.19 ;
10.28 ; 12.21.
Quatrièmement, l’authenticité de la loi mosaïque est soutenue par tous les
Conciles Juifs. Ils reconnaissent tous l’authenticité de la loi de Moïse, donc
les 5 livres de Moïse passent certainement le test de l’authenticité.
Passons maintenant aux prophètes.
La façon dont les Juifs divisent la section prophétique, il y a en tout 8
livres.
Premièrement, vous avez les anciens prophètes ce qui comprend 4 livres :
Josué qui est dit avoir été écrit par Josué.
Puis vous avez Juges jusqu’à Samuel et ceci fut écrit après le début de la
monarchie, selon Juges 19.1 et 21.25. Bien que le livre des Juges ait été écrit
après le début la monarchie, il fut quand même écrit avant que David ne devienne
roi. Tel que nous le voyons dans Juges 1.21 et 2 Sam. 5.6-9. Et apparemment,
le livre a été écrit quand David ne régnait que dans Hébron et sur la tribu de
Juda.
Le troisième livre est 1 et 2 Samuel qui sont comptés comme étant un seul
livre dans la reconnaissance juive tel que dans 1 Chroniques 29.29. Et il est
dit avoir été écrit par Samuel dans 1 Sam 1-24 alors que 1 Sam 25- 2, Sam 24
est dit avoir été écrit par les deux prophètes Nathan et Gad selon la tradition
juive.
Quatrièmement, vous avez 1 et 2 Rois. Dans la reconnaissance Juive, ces deux
livres ont été écrits ensemble et par Jérémie le prophète. Ils y a des
similarités mot pour mot entre les livres des Rois et le livre de Jérémie.
Donc, en traitant avec les prophètes, dans le Judaïsme, ils divisent entre
les anciens prophètes et les derniers prophètes. Les anciens prophètes
contenaient 4 livres : Josué, Juges, les livres de Samuel et les livres des
Rois.
Deuxièmement, vous avez les derniers prophètes qui constituent aussi quatre
livres.
Premièrement, Ésaïe qui fut écrit par Ésaïe. Ce fait est à nouveau soutenu
dans l’AT dans 2 Chro 26.22 et chapitre 32.32. C’est aussi réaffirmé dans
Ésaïe 1.1 ; 13.1. Aussi, Jésus soutient qu’Ésaïe a écrit le livre d’Ésaïe dans
Mat 8.17 et Luc 4.17-18.
Le deuxième livre des derniers prophètes est Jérémie qui est réputé avoir
été écrit par Jérémie dans Jér. 20.1 et 51.60.
Le troisième livre est Ézéchiel écrit par Ézéchiel selon le chapitre 24.2 et
43.11.
Le quatrième livre est les 12 prophètes mineurs. Du point de vue d’Israël
il n’y a pas 12 livres séparés, mais un groupe de 12 livres et sont chacun écrit
par les prophètes et chacun a une suscription qui nous dit le nom de chaque
prophète.
Donc, la deuxième division majeure de l’AT, la division des prophètes passe
aussi le test de l’authenticité. Il nous est dit, d’une façon ou d’une autre,
qui en sont les auteurs et ont été écrits au temps où ils se réclament avoir été
écrits.
La troisième division de l’AT Juif, est connue en tant que « Écritures » et
cette troisième section comporte onze livres qui sont subdivisés en trois
unités séparées.
La première unité est connue en tant que « littérature de Sagesse », qui
comprend trois livres. Le premier est le livre des Psaumes et il y en a un
total de 150. Cinquante de ces Psaumes sont écrits anonymement. Cent ont une
suscription nous disant qui les a écrits. Et des cents suscriptions, nous
savons que David en a écrit 73, Asaph 12, les fils de Koré 11, Salomon 2, Éthan
1 et Moïse 1.
Le deuxième livre de la littérature de Sagesse est le livre des Proverbes
écrit par Salomon, appuyé par Prov. 1.1 et 25.1.
Le troisième livre de la littérature de Sagesse est le livre de Job et dans
la tradition Juive, ce livre a été écrit par Moïse même si certains croient que
Job lui-même a écrit le livre.
La deuxième division des Écritures est connue en tant que le « Negillot »,
mot Hébreu qui réfère aux « rouleaux », cinq livres en tout.
Le premier est le Cantique de Salomon qui fut écrit par Salomon selon le
premier verset du livre.
Le deuxième est le livre de Ruth que l’on croit avoir été écrit par Samuel
parce que c’est seulement qu’un appendice aux livres des Juges et a le même
style.
Le troisième livre est Lamentations qui a été écrit comme nous le savons par
Jérémie tel qu’il l’affirme lui-même.
Le quatrième est le livre de l’Ecclésiaste écrit par Salomon selon Ecc 1.1 et
16 et chapitre 2.4-11.
Le cinquième rouleau est le livre d’Esther que l’on croit avoir été écrit par
Mardochée qui était le héros du livre.
La troisième division des Écritures est « les livres Historiques », qui
sont au nombre de trois.
Premièrement, vous avez Daniel qui a été écrit par Daniel lui-même selon
Dan. 1.1 et réaffirmé dans Matthieu 24.15.
Puis vous avez le livre d’Esdras écrit par Esdras et Néhémie écrit par
Néhémie. Selon la reconnaissance Juive, ces deux livres sont reconnus comme
étant un seul livre.
Le troisième livre est « Chroniques ». 1 et 2 Chroniques sont aussi vus
comme étant un seul livre et écrit, croit-on, par Esdras. C’est pourquoi vous
avez tant de points de forte similarité entre le livre d’Esdras et 2 Chroniques.
Donc, les trois divisions de l’AT et les différentes subdivisions passent
toutes le test de l’authenticité et par-là nous savons fondamentalement qui a
écrit chacun des livres et les évidences montrent qu’ils ont été écrits par ces
individus mêmes et la période qu’ils disent avoir été écrits, correspond à ce
qu’ils décrivent de leur temps.
2. La crédibilité. Elle met en valeur la véracité. La crédibilité de l’AT
peut être mis en évidence de 4 façons.
Jésus lui-même acceptait les livres de l’AT comme ayant la canonicité et
l’autorité. Il acceptait la véracité des doctrines enseignées dans l’AT, et
nous voyons cela dans Mat 5.17-18 ; Luc 24.27, 44 et 45 ; Jean 10.34-36.
Jésus acceptait la véracité des événements historiques de l’AT. Il
n’acceptait pas seulement l’enseignement doctrinal comme ayant autorité, mais il
acceptait l’histoire comme étant vraie et ayant autorité. Il acceptait donc la
version de l’AT sur la création de l’univers dans Marc 13.9. Il acceptait
l’enseignement de l’AT sur la création de l’homme dans Mat 19.4-5. Il croyait
au déluge du temps de Noé dans Luc 17.26-27. Il croyait ce que la Bible disait
à propos de Sodome et Gomorrhe et sa destruction dans Luc 17.28-30. Il
acceptait l’histoire de Moïse et le buisson ardent dans Marc 12.26. Il
acceptait l’histoire de la manne dans Jean 6.32. Il acceptait le tabernacle
dans Luc 6.3-4. Et il croyait l’histoire de Jonas et du poisson dans Mat
12.39-40.
La chose à savoir est que Jésus n’acceptait pas seulement les doctrines de
l’AT, il acceptait son histoire. Il ne croyait pas seulement que l’AT était
infaillible et in errant en matière de foi et de doctrine. Il le croyait aussi
infaillible et in errant en matière d’histoire.
La deuxième évidence de la crédibilité de l’AT ou de la véracité de l’AT est
la preuve à partir de l’histoire et nous voyons ceci de 4 façons.
Les premiers événements de la Genèse sont consistants avec les lois de ce
temps. Tel que le code Hamorabe. L’action de Saraï de donner sa servante à
Abraham était dans la tradition de ce temps. L’action de Rachel et les dieux
plein la maison de son frère Laban est pas mal ce que nous savons de la loi du
monde ancien.
La deuxième preuve de l’histoire est que les événements mosaïques sont
conformes à ce que nous savons de la 18ième Dynastie d’Égypte. Tout concorde
parfaitement. Ces choses sont disponibles dans notre série sur l’Exode.
Les noms de 41 rois mentionnés dans la Bible ont reçu une confirmation
historique. Donc, Sargon est mentionné dans Ésaïe 20.1. Salmanasar dans 2 Rois
17.3-6. Belschatsar dans Daniel 5, l’élévation et la rencontre dans Daniel 6
ont toutes des évidences et des documents historiques qui les mentionnent.
La quatrième évidence est que c’est fiable chronologiquement. Les choses
qui se sont produites chronologiquement sont dépeintes par les Écritures.
Cassette #3 face B
Maintenant, la troisième évidence pour la crédibilité et la véracité de l’AT
est la preuve venant de l’acuité topographique et géographique. Et une chose
que la géographie historique a prouvée est que, ce que la Bible dit à propos de
la topographie et de la géographie a été absolument vérifié.
La quatrième évidence de la crédibilité de l’AT est la preuve de
l’archéologie. Il y a plusieurs preuves, mais en voici 6 exemples parmi tant
d’autres.
La morale Babylonienne de la création qui se rapproche d’assez près du compte
rendu de la Genèse. Ce qui vous montre au moins qu’ils avaient les même
sources, avec la Genèse étant exacte et la Babylonienne étant la corrompue.
La morale Gilgamesh qui parle aussi d’un déluge mondial comme Noé l’avait
imaginé.
Les Rois de Genèse 14 ont tous des noms nationaux de l’endroit où il est dit
qu’ils proviennent.
Les tablettes Nuzi qui expliquent grandement plusieurs des actes de Sarah et
Rachel.
Les archéologues ont confirmé l’existence des Hittites qui était à un certain
moment « la » question bien que la Bible l’avait dit.
Le récit parmi les « Aliters » (en anglais) qui confirme le rapport du livre
de Josué.
Donc, toutes ces évidences montrent que l’AT a : crédibilité et véracité.
La canonicité de l’AT
La canonicité met en valeur l’autorité. Pour ce qui est de la canonicité de
l’AT, nous allons parler de quatre choses.
Les livres de l’AT ont été écrits avec l’idée arrêtée d’être tenus comme
sacrés et d’être d’autorité divine. Encore une fois, je souligne fortement que
ce n’est pas un quelconque Concile Juif ou d’Église qui a donné à l’AT sa
canonicité ou son autorité.
Il y a une reconnaissance immédiate de la loi mosaïque comme ayant autorité
et nous voyons cela dans : Deut 18.18-19 ; 31.11 et 24-26 ; Josué 1.7 ; Josué
24.26 ; 1 Rois 2.3 et Malachie 4.4.
Un autre exemple est, qu’il y avait une reconnaissance immédiate des
prophètes eux-mêmes à mesure qu’ils écrivaient la Parole de Dieu. Nous voyons
ceci comme exemple dans Juges 1.1 et chapitre 2.8 et 1 Samuel 10.35, Ésaïe 8.16
et Jérémie 36. 1-2 et 6.
De plus, il y avait une reconnaissance immédiate des prophètes par d’autres
prophètes. Par exemple, dans Jérémie 26.17-18 qui reconnaît Michée comme étant
prophète et Zacharie 1.4 qui reconnaît les anciens prophètes. Vous avez aussi
Michée 4.2-3 qui reconnaissent Ésaïe 2.2-4 comme étant « Écriture Sainte » et
Jérémie 49.9 et la suite comparée à Abdias versets et 5 et la suite et dans le
chapitre 9.2 du livre de Daniel, ce passage montre que Daniel a vérifié les
livres dont celui de Jérémie.
Il y avait aussi une reconnaissance immédiate par les « écrits » dans la
troisième section de l’AT. Nous voyons cela dans Daniel 9.2 ; Néhémie 6.5 ; 1
Rois 4.22 ; 1 Chroniques 29.29 et 2 Chroniques 9.29.
De plus, les Rabbins faisaient la distinction entre les livres qui
souillaient les mains et les livres qui ne souillaient pas les mains et ceci
était une distinction entre les livres canoniques et les livres non canoniques.
Et il y avait une reconnaissance générale à l’effet que, quand les prophètes ont
cessé, ils ont vraiment cessé et qu’il n’y avait plus de Parole venant de Dieu.
Si nous regardons les livres apocryphes par exemple, ils témoignent eux-mêmes du
fait que les prophéties avaient cessé.
Des exemples se trouvent dans 1 Maccabées 4.46 ; 9.27 ; 14.41 et le livre
apocryphe de Asarïa 15. Ces livres apocryphes que certains veulent garder
sacrés, clament eux-mêmes ne pas être sacrés et reconnaissent que, en leur
temps, les voix prophétiques avaient cessé.
Un autre exemple que l’AT avait été écrit avec l’idée immédiate d’être tenu
sacré est la découverte des rouleaux de la Mer Morte. Tous les rouleaux de la
Mer Morte furent mis ensemble des siècles après que le canon de l’AT fut déjà
complété et nous avons au moins un fragment de chaque livre de l’AT excepté un
qui est le livre d’Esther. Donc, les Juifs qui constituaient la population de
la Mer Morte les considéraient comme étant « Écritures Saintes».
Et finalement, le fait que les livres de l’AT furent écrits avec l’idée
immédiate qu’ils soient tenus sacrés et d’autorité divine peut être vu dans le
fait que tous les livres de l’AT sont cités dans le NT à l’exception de 6. Ce
sont Juges, Ecclésiaste, Cantique de Salomon, Esdras, Néhémie et Esther, alors
que tous les autres livres sont cités.
Une deuxième façon montrant la canonicité et l’autorité de l’AT est que la
division en trois parties est basée sur les positions officielles ou les statuts
de chaque auteur. Cette division en trois parties était même reconnue par Jésus
dans Luc 24.44, où il souligne les trois parties, la loi, les prophètes et les
Psaumes des Écritures. Certains enseignements que la division était sur la base
que certaines parties étaient plus canoniques que les autres. En réalité, elles
n’étaient pas basées sur plus d’autorité ou de canonicité, mais sur les
positions et les statuts des auteurs. La loi mosaïque est loi par elle-même
parce qu’elle a été donnée par un dispensateur de loi. Les prophètes sont
groupés ensemble parce qu’ils avaient et l’office et le don de prophétie. Et
les Écritures sont classées ensemble parce qu’elles avaient le don de prophétie
mais n’avaient pas l’office des prophètes. C’était là la base de la
distinction, de la division en trois parties et non sur la base de « plus ou
moins » de canonicité. Une troisième chose à propos de canonicité : ces trois
parties remontent aux temps anciens. Par exemple, Josephus qui écrivit environ
100 A.D., mentionne les trois parties dans son travail contre Apion et dans
Apion 1.8, Josephus dit : « il n’y a pas d’Écriture canonique depuis Malachie
». Et quand il parle des Écritures, il parle seulement des trois parties de la
division : la loi, les prophètes et les Écritures.
Deuxièmement, nous avons le témoignage de Philo qui écrivit environ 40 A.D.
Il mentionne aussi cette division en trois parties. Même le NT les enseigne et
nous voyons cela en comparant Mat.23.34, Luc 11.49 et Luc 24.44.
Le 2ième livre des Maccabées qui fut écrit environ 100 B.C., dans le chapitre
2.13 mentionne les livres des Rois qui sont connus comme les anciens prophètes.
Il mentionne les « prophètes » qui est maintenant connu comme les « derniers
prophètes », il mentionne les livres de David et ceci inclus le poétique et le
néguilot et inclus ce qui est appelé « les épîtres des Rois » concernant les
dons Saints, et ce sont les livres de Esdras, Néhémie et Esther.
Une cinquième évidence des antiquités est l’œuvre apocryphe connue comme
étant le prologue à l’Écclésiaste, écrit par Jésus Ben Sirach environ 130 B.C.
Il mentionne la loi, les prophètes et les autres qui suivirent après eux, les
autres livres des Pères qui est la 3ième division des Écritures.
Une sixième évidence est la Septante, la traduction grecque de l’AT qui fut
faite environ 200 B.C. et qui inclut cette division tripartite.
Nous pouvons donc conclure que cette division en trois parties fut faite pas
plus tard que 300 ans B.C. selon ces points d’évidence. À partire de 300 ans
B.C., le canon de l’AT était terminé et divisé en trois parties, la loi, les
prophètes et les Écritures.
La quatrième chose à propos de la canonicité est la collection du canon.
Comment furent collectés les 39 livres du canon de l’AT ?
Éh bien, la collection commença avec Esdras et la Grande Synagogue. Ils
assemblèrent les livres de l’AT au cinquième siècle B.C. Esdras était
particulièrement concerné par les livres sacrés. Ils convoqua alors les scribes
dans Néhémie 8.1, 4, 9, 13 et chapitre 12.26 et 36. Il était décrit comme un
scribe de la loi de Moïse dans Esdras 7.6.
Donc, un : la collection du canon de l’AT fut commencée par Esdras et
continuée par les scribes et les hommes de la Grande Synagogue dans le 5ième
siècle B.C.
Et il fut clairement reconnu par le NT dans Luc 24.44.
Et finalement, il fut établi exactement comme ça par le Concile Juif de
Yavneh en l’an 90 A.D.
Donc, ces choses sont des évidences claires de la canonicité de l’AT.